𝐆𝑨𝒀𝑳𝑬


𝒢𝒶𝓁𝒶𝒹𝓇𝒾ℯ𝓁 𝒢𝒶𝓎𝓁ℯ 𝒢𝒾𝒹ℯℴ𝓃 𝒮𝓃ℴ𝓌


A SA CONVENANCE

sir odieux de sa prestance, fils de Lucifer, enfant de Dieu. N'a sous que son âme soit touché par la lame rebelle ; vint au monde Galadriel appelé Gayle.


si l'accord lui est promis

L'étable est sale, les hivers sont plus longs que la nuit elle même. Si par le temps vint à annoncer la guerre des clans, à la cinquième lune, le jour de son dix-huitième anniversaire, au nord il fuirait de tout son petit corps jusqu'à l'éffondrement.


Si Dieu le veut

Divine créature que la terre à repoussé, la neige brule tandis que le feu apaise tes meours. Il ne te fallait attendre que le jour de ta dix-huitième année avant que les conrnes ne finissent enfin par tomber ; monstre idieux que tu es.

ancien testament


L'Angleterre, terre des vaillant. À la tête haute, la royauté, le courage et la loyauté sont des qualités qui coulent dans les veines des habitants de ces lieux.

Il n'en fait pas exception.

Petite chose, frêle, dont la nature à offert toute la beautée qu'une sirène aurait pû acquérir, la grâce et l'élégance d'une fée ;un être majestueux était né, et c'était toi Galadriel.

Oh des lunes se sont écoulé tant bien que les saisons tu n'avais eu de mal à les voir passer. Cependant, un mal être, lasse et vagabond, vu t à ce jour où les mots étaient hors de contrôle et où les mains se faisaient vulgaire.

Déchiré, en ce jour la famille que tu aimais tant avait disparu, ne laissant sur son passage que l'unique vide qu'il te restait, toi et ton identité que tu ne savais encore compléter

nouveau testament


Les années sont passées, les questions se sont abandonnés et voilà que ta vie se joue comme bon te semble. Tu es heureux, fier et courageux. De ta personne, un véritable homme en était sortit, et ce fut après de longues années de combats qu'enfin, la paix t'étais offerte.

Au jour à l'ennui, la guerre avait déjà éclaté. Fils d'un Roi lui même, ta place se devait d'être reprise dans l'arène. Ô les contrée lointaines que tu avais enfin quitté, le dernier souffle de ton père avait sonné, et la relève tu devais porter.

Un long chemin s'était offert jusqu'à toi, et la porte des enfer, enfin, tu y arrivais. A présent, ta place de gardien se doit d'être tenue, tu es la Mort. Dans les contes, tu es celui qu'on appelle la faucheuse, sans sentiments, tu ôte la vie aux mourant pour l'accompagner jusqu'à la porte des enfers. Mais est-ce vraiment qui tu es ?

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[ 𝚂𝙾𝙾𝙽 ]